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Par Bertrand Ytournel le vendredi, 13 mars 2009, 21:11 - critique - Lien permanent
Mercredi soir. Au Zénith. Bénabar.
Chapitre 1 Les vigiles à l'entrée
Souriants et drôles. Il en faut de la bonne volonté pour faire des blagounettes, même à la trois millième personne dont on fouille le sac, bravo !
Chapitre 2 La salle
Immense. Trop grande. On se sent un peu perdu au milieu d'une telle foule.
Brouillardeux. Dommage car on voit moins bien la scène.
Chapitre 3 Première partie
Travis Bürki. Barbu, au piano, en queue de pie. Un acolyte cowboy guitariste. Des chansons jouant plus sur les mots que la mélodie. Pas mal d'énergie. Sympa.
Suivi par un entracte trop long.
Chapitre 4 Le concert
Rien à dire sur les chansons. Quelques réorchestrations péchues (cuivres & violon). Des tempi accélérés. De l'humour. Pas mal d'empathie. Jeu de scène étrange (attention au lumbago). Et surtout une énergie folle.
Un concert et cinq mille personnes ont le sourire, c'est l'effet papillon...
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