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dimanche, 12 février 2017

C'est le pied !

Les années se suivent et se ressemblent.

Le pied !

J'ai débuté 2016 sur une seule patte, la faute à une entorse à la cheville gauche et 2017 commence par une opération du pied droit, qui devrait régler la méchante douleur qui m'empêchait de faire du sport - et récemment de marcher normalement - mais en attendant j'ai ressorti les béquilles.

vendredi, 17 juin 2016

Et si on reparlait un peu de sport

2015 fut clairement focalisée sur des longues courses, avec un marathon au premier semestre et un semi-ironman au second.

Par opposition - retour d'expérience plutôt qu'esprit de contradiction - la bonne résolution 2016 est de faire court : rien de plus long que semi ou tri S.

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lundi, 31 août 2015

Aluminiumman

Moins cool qu'Ironman, mais plus léger et ne rouille pas.

Dossard #25 The Gauntlet, tri 70.3 en 5h58'30" au château de Chantilly : NAT 1900m en 32'12" ; VEL 87km en 2h51 ; CAP : 21.1km en 2h27.

EDIT : Hey, sur la vidéo, le beau gosse qui nage trop bien à la 39e seconde, c'est bibi...


par Castle Triathlon Series

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mardi, 7 juillet 2015

Triathlon de Paris

Dossard #24, tri M en 2h19'08" : NAT 1,5km en 24'21" ; VEL 40km en 1h07'02" ; CAP 9km en 47'45".

EDIT : Hey, sur la vidéo, le beau gosse à la foulée aérienne à 6'16", c'est ma pomme (et on peut voir François chercher son bonnet vers 20").


#GarminTriParis : Revivez les meilleurs moments... par FFtriathlon

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mardi, 14 avril 2015

Never give up, never surrender

Finisher.

Le compte-rendu pourrait s'arrêter là car c'était l'essentiel, mais cela ferait un peu court, non ?

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samedi, 4 avril 2015

To-do-list du triathlète

Un peu par hasard, j'ai appris qu'il y avait encore des lecteurs à ce blog. Et figurez-vous qu'ils y viennent avec des questions précises (du genre, que faut-il en pratique pour courir un triathlon ?) et qu'ils sont tout déçus de ne pas y trouver de réponse...

Alors pour faire plaisir à un pourcentage non négligeable du lectorat, voici un billet qui vous dit tout sur les aspects matériels du triathlon.

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vendredi, 3 avril 2015

Hop ! Hop ! Hop !

Où l'on parle de sport.

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lundi, 4 mars 2013

Sixième dossard - le semi de Paris

Pas de sport depuis début décembre. Enfin, si, trois courses sur tapis lors des deux dernières semaines passées en Angleterre pour le boulot, pour un joyeux total de 15km. Pas vraiment une préparation... Sauf que voilà, j'avais un dossard pour le Semi de Paris. Et c'était hier.

Bref, course tranquille, allure footing, 1h59... Plus de 20 minutes perdues en trois mois. Mais le plaisir était tout de même là : un chouette parcours, sous le soleil, qui passe à deux pas de la maison...

Semi de Paris

PS : pour ceux que ça intéresse, mon idiot de genou droit fait toujours la tête. Mais moins.

mardi, 11 décembre 2012

Cinquième dossard

Mon cinquième dossard fut le dernier de 2012. Et d'ailleurs ce n'était pas un dossard mais une chasuble.

La fleur au fusil, et sur les conseils enchanteurs de mes voisins (2 de bureau et 1 de pallier), je me suis inscrit à la Saintélyon un trail de 70km, nocturne et hivernal, entre Saint-Etienne et Lyon. L'aventure, quoi !

Profil SaintéLyon 2012

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mardi, 20 novembre 2012

Quatrième dossard

Après trois 10km -dont celui du triathlon de Paris-, il était temps de passer à la distance supérieure. 

Et voilà que la ville de Boulogne-Billancourt avait eu le bon goût d'organiser un semi-marathon le jour de mes 32 ans. Ce fut donc mon objectif de l'automne : moins d'1h45. À l'origine, mon secret espoir était même d'approcher 1h40, mais il fut légèrement douché par mes 45'23 au 10km d'Odyssea le 7 octobre.

Sur les six dernières semaines, je courus 145 kilomètres, un joyeux programme mélangeant lac Daumesnil, bois de Vincennes et stade Leo Lagrange, avec de l'endurance, du fractionné, de la vma... Mais le plus intéressant dans mon austère préparation fut la dernière ligne droite - peu orthodoxe.

Vendredi, soirée pizza - nanar - beaujolais entre amis : Plan 9 from outer space puis Beowulf -celui avec Christopher Lambert et Götz Otto- jusqu'à 2h du matin. Le beaujolais a cette année, comme toutes les années, un nez de carambar et un goût très fort de bonbon à la banane - pour les chimstes, l'acétate d'isoamyle c'est un peu l'équivalent de la madeleine de Proust, on se retrouve instantanément projété en salle de TP, avec Mme V qui mime la molécule.

Plan 9 est en fait un hommage aux films de genre et Ed Wood est le lointain précurseur de Quentin Tarantino. Si, si : Plan 9 et Death Proof (ou Kill Bill), même combat. Le seul vrai défaut de Plan 9 c'est de ne pas vraiment choisir son genre (extraterrestres, zombies, vampires, thriller...). Au final, avec un scénario plus clair, de meilleurs acteurs et beaucoup moins d'erreurs techniques, ç'aurait pu être un film très dans la moyenne.

Avant de regarder Beowulf, il faut bien bien avoir à l'esprit que c'est la réinterprétation médiévale steam-punk d'un des plus anciens écrits de la littérature anglo-saxonne. C'est un film construit autour d'enjeux fondamentaux, qu'ils soient scénaristiques (le péché originel comme déclencheur de lutte du bien contre le mal) ou financiers (comment faire ce qu'on peut avec très peu) : c'est le choc de l'épique et du cheap. Et il y a Christopher Lambert qui fait plein de saltos, sur fond de musique techno.

Samedi après une courte sieste, puis un apéro chez les voisins, je chipotai un plat de nouilles devant le très intense France - Argentine et fut au lit bien tard. Le XV de France millésime 2012 domaine Saint-André me plait bien, même si je pousserais pour Fofana en 12, Huget en 14 et un jeune ailier/arrière sur le banc (par exemple Buttin, mais il faudrait qu'il joue plus avec l'ASM).

Dimanche matin, réveil aux aurores (7h) pour avoir le temps de manger puis digérer un plat de nouilles, avant l'heure fatidique du départ de la course (10h). 

Puis, tout en buvant plein d'eau comme il paraît qu'il faut faire, choix cornélien de la tenue. Rien à voir avec une quelconque coquetterie, il s'agissait de faire au mieux avec la météo annoncée (pluie faible) et la météo constatée (averses). Les options étaient : T-shirt manches courtes genre novembre-qui-a-dit-que-c'était-novembre?, haut à manches longues façon confiant-il-ne-pleuvra-pas-trop ou k-way style Runnin'-in-the-rain.

Vers 8h50, le choix enfin fait, je pris le métro en direction de Boulogne. Tiens à ce propos, dans la 9, j'assistai à scène amusante aux alentours de rue de la pompe, mais en préambule il faut que vous sachiez que les jours de course, dans le métro, plus l'on approche du lieu de la course et plus la proportion de coureurs en tenue de course augmente. Deux jeunes filles d'environ quinze ans - l'une tenait le figaro et l'autre un sac à main Burberry - discutaient avec force décibels d'une amie commune qui serait sortie avec Mathieu, ou pas, ce n'était pas certain quoiqu'en pense l'une. Soudain l'autre après avoir balayé la rame du regard se pencha vers la première et lui chuchota : "tu n'as pas l'impression qu'on est entourées de coureurs ?" Et l'autre, un peu inquiète : "''Si, mais qu'est-ce qui se passe tout d'un coup ?'"

J'arrivai à Boulogne, métro Marcel Sembat, à 9h30 et déposai mon sac à la consigne en quelques secondes (excellente organisation !). Puis je fis la queue trente minutes pour aller aux toilettes...

Bref, je me retrouvai sur la ligne après que le départ de la course fut donné et sans échauffement... J'occupai donc les trois premiers kilomètres à slalomer. A partir du septième, il plut fort et je rattrapai le meneur d'allure 1h45. Au onzième je me sentais toujours bien, au point d'accélérer un peu, il cessa de pleuvoir et le meneur des 1h40 fut visible à partir du quinzième. Je le rattrapai au vingtième. Sophie était à l'arrivée avec un chouette parapluie multicolore - je sprintai donc.

Au final, 1h38 (wouhou !), en negative split.

Et depuis, mes adducteurs ne sont que courbatures...

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