Bibiothèque

Petit déjeuner et balade sur la grève.

Le temps est toujours gris, nous quittons donc Miyajima plus tôt que prévu et sur le chemin d'Osaka, nous nous arrêtons au château d'Himeji, un ancien château de samouraïs. Il est en travaux et on ne peut pas tout visiter, mais tout de même, quel lieu incroyable !

Himeji est surnommé le château du héron blanc - d'où la photo du héron dans les douves...

Dans une gare, nous testons un restaurant rigolo. Pour commander, il faut choisir son plat parmi les plats en plastique dans une vitrine. Ensuite il faut aller à un distributeur qui échange quelques yens contre le jeton correspondant au plat choisi - enfin si vous êtes capables de retenir les caractères japonais du plat en question... Enfin, il suffit d'échanger le jeton contre un plat au comptoir.

Après un nouveau train, nous revoici en ville, cette fois-ci à Osaka. Autre ville, autre ambiance : plus au sud, plus "méditerranéenne". Par rapport à l'ultramodernité de Tokyo et au charme classique de Kyoto, Osaka est plus sale (enfin moins propre), les bars et restaurants sont ouverts sur les rues (pour la première fois en ville, les odeurs font partie du paysage), le gens sont moins polissés... C'est pas encore le bin's mais on a définitivement gagné en entropie.

Notre dernier restaurant japonais sera du teppanyaki : grillade sur plaque. Nous occidentalisons un peu le menu avec un peu de foie gras... C'est excellent et voir le chef cuisiner juste devant nous très impressionnant.

L'estomac plein, Sophie se sent d'affronter son vertige au Umeda floating gardens : un ascenseur transparent puis un escalator suspendu nous déposent sur le toit d'une arche entre deux immeubles, avec vue imprenable sur les gratte-ciels d'Osaka.

L'hôtel Granvia n'a aucun charme mais il est à deux pas de la gare.