Drame instantané
Par Bertrand Ytournel le lundi, 25 février 2008, 21:23 - instantané - Lien permanent
Nous marchons dans les rues de Beaune. Le soleil se croit en mai, il flotte un parfum de vacances.
Soudain Sophie s'arrète net et me retient, pour regarder une vitrine. Puis elle se retourne et, comme si un grand malheur venait d'avoir lieu, dit le magasin s'appelle Réglisse, mais c'est un magasin de vêtements.
Commentaires
C'est nul de donner des faux espoirs aux gens avec un nom pareil. Il était prometteur...